mercredi 17 juin 2015

Principe du jeux et historique

HISTORIQUE DU SPORT BOULES 


But du jeu :
Partie en 13 points  ou un temps fixé  avant le début de la partie.
Pointage : approche du But en faisant rouler la boule
Tir : (voir ci-dessous)
Les différences  avec la pétanque.
La partie se joue sur un boulodrome où les boules roulent plus facilement.
Toutes les boules font l’objet d’un marquage au sol avec une baguette.
Les distances sont  plus importantes entre 12,5 et 17,5m. L’approche du cochonnet ou but  par pointage n’est pas difficile pour un débutant bien que  les boules soient  plus grosses.  L’on  est pas figé dans ses mouvements dans un cercle comme à la pétanque.   Sur un boulodrome les boules roulent facilement.
Tir :   A la différence de la pétanque  il est nécessaire d’avoir une certaine pratique. On annonce l’objet  dont on a l’intention de détruire. A la différence de  la pétanque on doit tomber à moins de 50cm de l’objet annoncé.   C’est la  partie la plus intéressante et la plus difficile du Sport Boules ou Boule Lyonnaise.  Elle peut intéresser des hommes ou femmes  en bonnes conditions physiques

Mise en place
Jeux d’équipe :   double, triple, quadrette.
Les boules :   dimension 90mm à  110mm poids / 900Gà 1200g Mise à disposition par le club
Le but :  35mm
Le terrain :   le boulodrome


Il ne  saurait être question de ne plus insister sur le tireur, clé des victoires d'une équipe. Les grandes formations actuelles (et d'il y a plusieurs décades d'ailleurs), en quadrettes, car il en existe encore et elle viennent parfois d'au-delà des Alpes, sont formées de 4 joueurs complets dont trois, très forts tireurs, et l'on tire beaucoup plus qu'autrefois, en imitant aussi, sans la copier, la tactique de la pétanque.


Pour en savoir plus sur le Sport Boules lire la suite



Gestuelle du tireur

La boule du tireur doit être très " arrondie " et c'est une technique de tenue de boule par la main qui lui permet de donner un effet retro (voir le billard) facilitant le glissement de la boule sur le sol et qui permet mieux d'enlever la boule visée, facilitant aussi le carreau sur place (un palet dit-on) ou le carreau allongé qui laisse la boule tirée par le joueur dans le jeu, donc la rend utile dans la poursuite de l'action.

Certains tireurs ont des tirs dits " plongeant ", d'autres des tirs dits " raclant " ; chacun doit reconnaître et se mettre à sa bonne place dans l'équipe. Mon corps s'assouplissait ainsi, se familiarisait avec les gestes du tireur, geste qui doit être à la fois aisé, élégant et... productif surtout.

A 17 ans, j'étais souple, adroit et je m'obstinais. Que ces quelques lignes puissent faire connaître et apprécier le geste du tireur à la Lyonnaise ! Je précise que les règles de jeu n'imposent pas au tireur un élan spécial. Chacun peut partir d'où il veut (il est admis mais difficile cependant, d'effectuer son tir de " pied fermé " - sans élan) et lancer sa boule sans " mordre " la ligne de pied. Certains prennent leur élan plus court (la ligne de départ située en arrière de 4 m de la ligne de pied sert souvent de repère). Cela dépend de l'agilité, de la longueur des jambes, de la petitesse ou de l'allongement des bras aussi (c'est bizarre !) qui fonctionnent comme il l'a déjà été dit, en synchronisation avec les jambes.

Plus les bras sont courts, plus la boule est rapidement sortie de la main.

mardi 16 juin 2015




En 1935, la Boule Lyonnaise ou Sport Boules était une originalité, une spécialité, un rayon de lumière, un étalage de sons et de paroles que seules, Lyon et les régions du sud-est et d'autres régions gagnées par la contagion, pouvaient livrer à la connaissance des initiés, des curieux aussi.... des amateurs de pétanque !


La boule lyonnaise, mère lointaine de la petite fille, dite pétanque, n'a pas conservé sa place de choix qu'elle mérite. C'est un descendant de ses " canuts ", ouvriers de la soie, intraitables, dont l'Histoire raconte les actions désespérées et héroïques, qui essaiera de faire admettre cette boule lyonnaise comme un sport, un spectacle, et aussi de faire revivre et sortir de son sommeil.


Ecoutons-le. Que de louanges, que de récits de Presse, que de photos, dessins et autres aspects de l'expression humaine viennent mettre en valeur, la pétanque. Il n'est peut-être pas utile de rappeler ce qu'est ce jeu de " petites boules " en question.


Tout le monde le connaît et l'attention du lecteur est attirée par la courte distance que sépare le joueur du but à atteindre, par l'absence quasi totale de règles fondamentales, par la possibilité de pratiquer ce jeu par tous, même les invalides (dans certains cas), les femmes, tous les hommes valides, même les plus vieux. Notons aussi les différentes tactiques avec la grosse boule et le fait qu'un bon joueur de boule lyonnaise ne gagnera que rarement.

Les principes du jeux


Parlons donc de cette " boule lyonnaise ". Regardons ce petit plan avec des dimensions qui présentent peut être avec quelques inexactitudes, mais légères à mon avis. La largeur du jeu est variable selon les emplacements, mais elle ne peut, pour des raisons techniques, être inférieure à 1,50m !





Source : Fédération Française du Sport-Boules

On alterne les côtés ; le but ne peut dépasser 16,50 m au cours de son premier lancer et il doit dépasser 12,50m. Ensuite le jeu peut s'étendre de 12 m à la ligne du fond, soit 18 m. D'autre part sur les côtés et au fond du jeu sont tracées des lignes dites de " perte ", qu les boules ne doivent pas franchir.

C'est un connaisseur, un ex-joueur (né en 1914) qui vous parle et qui répugne à utiliser le " je " ou le " moi " ce qui sera évité " autant que faire se pourra ".



Le pointeur, l'homme le plus calme et le plus réfléchi des deux ou des quatre joueurs, prend son départ sur la ligne du pied (qu'il ne faut pas " mordre ").

Le but, (petite boule de bois) ou le " cochonnet ", le " petit ", que la boule pointée doit rejoindre et s'en approcher le plus possible, est situé dans le rectangle de 4 m de long... la boule est portée ou roulée (selon la nature du terrain) sur une distance qui peut varier environ de 12 m à 16 m, voire plus. La boule dite portée est projetée en hauteur, arrondie par le geste du joueur, et elle retombe vers le but ou loin du but, mais elle se bloque (ou à peu près) au sol... lorsque ce dernier est humide, mou ou sableux.

La largeur du jeu est variable selon la place dont on dispose, mais elle ne doit pas, pour des raisons 

L'art du pointeur 


L'art du pointeur, car il s'agit bien d'un art dans lequel excellent les connaisseurs du terrain, soit les paysans, toujours très dangereux dans les concours de campagne, pour les joueurs de villes, équipes fortes les plus souvent au tir et qui doivent faire connaissance avec la nature, les accidents, les courbes, les dénivellations des terrains de jeux où évoluent naturellement et uniquement les équipes de paysans. C'est un homme plein de cette expérience qui explique ce petit détail. Cet art du pointeur a des secrets qui se résument ainsi à choisir son point de départ, en arrière de la ligne dite " du pied ", en fonction de la position du but, prévoir le trajet de la boule et les modifications qu'il subira selon la conformation du terrain, préparer la " donnée " de la boule pointée. Le joueur souvent prépare cette " donnée ", en égalisant, nivelant, enlevant les obstacles à l'endroit où la boule heurte le sol. Il faut compter sur les " nuisance " (" grattons ", lieux d'apparence parfaits, mais où la découverte de petites cailloux, mottes de terre etc... peut faire varier le trajet envisagé par le pointeur). Admirons la patience de ces pointeurs qui imaginent le parcours de leur boule avant de la jouer et enlèvent ou déplacent les éléments solides perturbateurs, avec leurs pieds. Certains d'ailleurs exagèrent et cherchent à énerver l'adversaire. Sans trop exagérer, c'est de la bonne guerre, et admis par tous !

Le tireur

Le tireur, c'est le plus difficile des rôles. Certains ne peuvent y parvenir ; les femmes, en principe, ne tirent pas (à la pétanque, elles le peuvent) ou alors elles projettent la boule, en la saisissant par dessous et ainsi ne " l'arrondissent "pas (les adeptes me comprendront). Une seule femme ravive certains souvenirs de Bellecour, car elle tirait bien et oui ! C'était rare mais elle portait des pantalons déjà ! Un curé, aussi, se distinguait dans une localité de l'Isère et jouait en habit de prêtre, relevant sa soutane pour tirer et ... touchant souvent l'objectif choisi...

L'art du tireur

Voici donc le tireur en action. Cet acte exige un parfait synchronisme entre la course effectuée et le mouvement de bras qui lance la boule. Il faut, c'est la terme exact utilisé par les connaisseurs, un balancier du bras qui permet de lâcher la boule en fin d'évolution des bras et des jambes. N'oublions pas de préciser que la boule lancée pour être " bonne " doit frapper le sol, devant l'objectif, peut racler le sol mais à 49,5 cm au plus (la raie marquée 50 cm devant la boule à toucher ne doit pas être entâmée).

mercredi 13 août 2014

Activité de l'ASA Sport boules pour la saison 2013- 2014

Les sociétaires ont participé à 37 concours et gagnés deux concours avec quelques finales et 1/2 finales. 
Voir ci dessous compte rendu d'activité.

 L'effectif du club est de 37 licenciés.
Le club rembourse toutes les participations aux concours


jeudi 4 avril 2013

INFORMATIONS ET INSCRIPTIONS à l'ASA Maisons Alfort

Sur Place
L'après midi semaine et samedi
25bis avenue du Général De Gaulle
Maisons Alfort VAL DE MARNE
RER : D

Ecrire un Email : asa-sport-boules-maisons-alfort@laposte.net

Téléphone : 06 20 21 49 43

Plan Maisons Alfort

mardi 26 mars 2013

TIR PROGRESSIF SPORT BOULES

Cette épreuve consiste à lancer avec élan  le plus grand nombre possible de boules dans le temps imparti de 5 minutes.  L’athlète, en course continue, tire alternativement dans un sens puis dans l’autre sur six boules cibles
placées à distances variables (seule la réussite du tir permet la progression de la cible sur le tapis). Les
joueurs doivent attendre le signal de départ, boule en main, au-delà de la ligne maximum. L’épreuve
débute et prend fin au coup de sifflet du commissaire. La durée de l’épreuve est variable (cf. tableau).
Chaque cible touchée dans le temps imparti de l’épreuve donne 1 point. Un tir est valable quand la boule
cible est déplacée de son emplacement (trou du tapis), le point de chute étant entièrement à l’intérieur de
la zone découpée du tapis (alvéole).



  
Epreuve à dominante sportive inscrite au programme des Jeux Méditerranéens et des Jeux Mondiaux. L'athlète tire alternativement dans un sens, puis dans l'autre sens du jeu.
Il parcourt sans interruption plus de 1000 mètres en Cinq minutes, tout en tirant successivement sur 6 boules cibles, dont les emplacements sont situés sur 2 tapis.


Quelques résultats du Championnat de France de Tir Progressif
1 - MOURGUES Sébastien   47 sur 49 
2- AMAR Fabien  46 sur 47 
3 - AMAR Fabien 44 sur /48 




Championne du monde Féminin  : La Chinoise XIPING Cheng 45/48 en Tir Progressif 



mardi 4 septembre 2012

L’ASA Boule Lyonnaise de Maisons Alfort participe à la semaine du Sport Boules de la FFSB et Opération Sentez Vous le sport du 14 au 22 Septembre 2013